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Descriptions

Le lemniscate, communément utilisée pour évoquer l’infini, est une courbe plane en forme de huit. Connue depuis l’Antiquité grecque, sa puissance décrit le mouvement perpétuel et, par-delà, le cycle du renouveau éternel avec pour référence l’ouroboros, serpent se mordant la queue dans la mythologie grecque. Les deux demi-cercles, ou boucles, symbolisent l’équilibre des opposés en un point de convergence, central. Symbole de l’infini et de l’unification.
Le triskel, ou triskèle, ou encore triple spirale, est présent sur de nombreux monuments celtiques et est un symbole culturel fort pour les habitants de la Bretagne. Ces trois spirales, ayant plusieurs représentations possibles, symbolisent les phases de la vie, les phases lunaires, et bien d’autres triades. Elles rassemblent les trois forces qui s’opposent pour les harmoniser, les unifier et les libérer.
La rosace est une figure géométrique, symétrique, formée de courbes dans un cercle à partir d’un point central. Très utilisée depuis des millénaires en architecture, notamment depuis le Moyen-Âge avec ses cathédrales gothiques, elle évoque dans le milieu naturel une fleur dont les pétales sont déployés, prêt à recevoir la vitalité du Soleil et de la vie.
Le Yin et le Yang représentent, dans la philosophie chinoise, les dualités le plus souvent opposées et complémentaires. Il s’agit non pas de forces ou d’énergie, mais de notions universelles. Le Yin, en noir, évoque parmi tant d’autres le principe féminin, la lune, l’obscurité, la fraîcheur, la réceptivité, etc. Le Yang quant à lui, en blanc, représente notamment le principe masculin, le soleil, la luminosité, la chaleur, l’élan, etc.
Le triangle de Sierpinski est une figure fractale, géométrique, dont la structure est invariante par changement d’échelle. Autrement dit, à la manière des poupées russes et de la mise en abyme, le motif initial est fractionné pour contenir plusieurs modèles réduits de ce même motif de base ; cette opération peut être réitérée à l’infini. Le choux romanesco en est un bon exemple. Le triangle de Sierpinski est obtenu à partir d’un triangle équilatéral plein, de moins en moins dense par répétition de divisions mathématiques successives. Gravé à la main dans de la pierre naturelle, ce motif géométrique répétitif évoque l’infini. L’observer attentivement permet, en focalisant notre attention, de se recentrer sur soi, d’oublier l’espace d’un instant les éléments pouvant troubler notre pensée.
La spirale est, depuis des millénaires, l’expression d’un mouvement dit circulaire, qui se prolonge à l’infini. Cette progression circulaire est souvent associée à une progression ascentionnelle, et qui nous renvoie à notre Être, permanent, animé dans un monde éphémère en perpétuel mouvement. La pierre est un très bon support pour graver un motif spiralé, comme en témoignent les nombreux édifices religieux sur tous les continents. Dans notre exemple, la spirale n’est pas simplement gravée, mais sculptée en relief, afin de la faire ressortir, surgir de la surface de la pierre naturelle. Il s’agit là d’un excellent support de méditation, esthétique pour agrémenter son lieu de vie.
Solide en trois dimensions façonné dans la pierre naturelle. Sa fine pointe adoucie sert de support afin qu’il tienne tout seul debout, tel un objet en lévitation. Il prendra tout son sens en complément du triangle de Sierpinski, où leur association évoquera un vaisseau. Vous pourrez ainsi les imbriquer comme bon vous semble selon vos envies. Ils deviendront inséparables, à votre plus grand bonheur. L’inspiration sera décuplée. Très léger et aérien, ce triangle évoque la pureté et invite à se ressourcer.

Descendre ou monter ? Ce motif défie les schémas usuels de représentation du spectateur.
L’œil se perd dans ces quatre escaliers travaillés à la manière des œuvres de Escher. Tout part de
carrés imbriqués ; et pourtant, des triangles se dessinent, puis des spirales : quatre vagues
d’Hokusai, quatre souffles de vent, quatre flammes, dans la pierre.
Cette illusion d’optique invite au voyage.
Gravé à la main dans de la pierre naturelle, ce motif géométrique répétitif évoque l’infini.
L’observer attentivement permet, en focalisant notre attention, de se recentrer sur soi, d’oublier
l’espace d’un instant les éléments pouvant troubler notre quotidien.

La Fleur de vie est un motif de géométrie sacrée à structure répétitive. Le point de départ de ce motif est un cercle central symbolisant la source de toute vie sur Terre. Dix-neuf cercles de même rayon entrelacés, aussi anciens que l’Histoire elle-même. Connue du mathématicien Pythagore, entre autres déjà gravée sur les piliers du temple d’Osiris, vieux de 5 000 ans (Abydos, Egypte), son motif géométrique puissant a été utilisé en architecture, tout comme le nombre d’or : les proportions des édifices reposent sur ces valeurs universelles. On la retrouve dessinée dans le Codex Atlanticus de Léonard de Vinci. En elle, on peut lire toutes les constructions de l’Univers ainsi que les corps platoniciens (tétraèdre, hexaèdre, octaèdre, dodécaèdre et icosaèdre). La Fleur de vie est intimement liée à la nature. Cet entrelacement évoque, à qui les contemple, les pétales d’une fleur. On en trouve de nombreuses manifestations comme les flocons de neige, les cristaux de glace, et plus globalement la division cellulaire. En somme, elle porte en elle tout le Cosmos. Objet de méditation, elle apporte énergie, équilibre et harmonie. Comme la graine de vie, elle symbolise le renouveau et est une illustration de la connexion entre l’esprit et toute manifestation de la vie. Réalisée puis polie à la main dans la pierre naturelle, elle vous apportera harmonie et vitalité. Vous l’apprécierez aussi bien en élément ornemental qu’en support de méditation.
Figure héraldique étant rencontrée principalement dans le Sud de la France, elle est un symbole culturel fort, représentant l’attachement des habitants à leur région, à leurs valeurs. Elle serait issue de la Croix grecque, elle-même venant du chrisme. Croix de Provence puis croix de Toulouse et du Languedoc, elle est aujourd’hui le symbole de la région Occitanie. Gravée dans la pierre naturelle, La Croix occitane est mise en valeur par la lumière du jour d’autant plus que son relief est fortement contrasté.
La Croix basque, ou Lauburu en basque, signifiant quatre (Lau) têtes (buru), est le symbole du pays basque utilisé par ses habitants depuis de nombreuses générations. Utilisée en guise de signalétique sur les maisons basques, les commerces, ou encore dans le domaine funéraire sur les stèles, ce symbole géométrique représente un art de vivre au quotidien dans cette magnifique terre imprégnée d’une culture connue à travers le monde. Ce motif géométrique à quatre têtes, chacune d’entre elles constituée de trois demi-cercles, et gravé à la main, mêle richesse d’une culture et élégance mathématique. Gravée à la main dans la pierre naturelle, ce motif aussi puissant que délicat, sera une source d’inspiration au quotidien. D’un petit presse-papiers à un plus grand format servant d’incrustation murale ou de signalétique de maison, vous trouverez la dimension qui conviendra le mieux à son utilisation.

À l’image des fractales et du modèle HÉLIX, cette création de carrés imbriqués attire l’œil par
l’ensemble géométrique qu’il constitue, par sa régularité, et le jeu de lumières qu’il implique lors de
mouvement soit d’une source lumineuse ou de lui-même.
Le carré central permet de rentrer plus en profondeur dans la matière, d’aller chercher davantage
de contraste pour irrémédiablement attirer l’œil en son centre.
Oubliez le temps, évadez-vous et observez attentivement cette géométrie gravée entièrement à la
main dans cette pierre calcaire claire. Sérénité assurée.

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